Le p'tit bal perdu et d'autres...
Non, ce n'est pas une reprise de Patrick Bruel d'un tube des années d'entre deux guerre dont je veut vous parler !
C'est d'un titre chanté par BOURVIL. Un coup de coeur dont j'avais déjà parlé dans ce blog (cliquer ici pour voir le fameux message).
La différence, c'est qu'à l'époque je ne connaissais pas le site Radio Blog, donc que je ne pouvais pas vous proposer de l'écouter tout simplement. C'est vrai que c'est dur de donner envie à quelqu'un d'écouter une chanson juste en en parlant. Il vaut mieux avoir le support sonore. Et cette fois-ci je l'ais ! Et je suis trop contente. Cliquez sur le petit triangle à gauche ! (PS : vous trouverez les paroles de cette chanson dans un lien du message d'avant)
Tellement contente d'ailleurs que j'ai aussi mit un lecteur pour une seconde chanson de BOURVIL qui s'appelle "La tendresse" écrite et mise en musique par Noël ROUX et Hubert GIRAUD en 1963. Je ne m'explique pas ma passion pour ces chansons masi je les adorent !!
Avec aussi les paroles :
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y'en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Etre inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question
Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment
Le travail est nécessaire
Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien... on s'y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous paraît long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long
Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L'amour ne serait rien
Non, non, non, non
L'amour ne serait rien
Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
On n'est plus qu'un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D'un cœur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n'irait pas plus loin
Un enfant vous embrasse
Parce qu'on le rend heureux
Tous nos chagrins s'effacent
On a les larmes aux yeux.
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
Dans votre immense sagesse,
Immense ferveur,
Faites donc pleuvoir sans cesse,
Au fond de nos cœurs,
Des torrents de tendresse pour que règne l'amour...
Règne l'amour... jusqu'à la fin des jours.